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Un Corps en Résonance
«La robe de la Cloche résonne au battant de l’esprit.»
De nombreux êtres humains penseront peut-être que ce serait une preuve de
supériorité de l’esprit maîtrisant le corps comme il se doit que de
pouvoir, en un tel cas, par exemple, ne jamais attraper de
"refroidissement" (en langage courant, un rhume, se dit, en effet, en
langue allemande, «Erkältung» = «refroidissement»), autrement dit de ne
jamais ... s'enrhumer!
Est-ce là, de leur part, une preuve de véritable savoir?
Réfléchissons. Que fait un être humain qui, par la puissance de son esprit, refoule un
refroidissement qui, sous la pression d’éléments extérieurs - tels que
le vent, la pluie, une basse température, etc. - veut s’emparer de son
corps? Il empêche, tout simplement, son corps de vibrer - et donc de résonner - avec son entourage physique terrestre!
Un tel corps, ainsi devenu non réactif, est alors transformé en «corps
mort»; il n’est plus en résonance, ni avec le dedans ni avec le dehors.
L’esprit à l’intérieur ne peut plus rien expérimenter et donc rien
vivre.
Celui qui traite son corps aussi unilatéralement, de sorte qu'il le rende, sous la puissance de son
esprit, temporairement insensible, celui-là n'est nullement quelqu'un
de particulièrement admirable; c’est juste un tyran pour son corps.
Nous sommes sur Terre, incarnés dans un corps terrestre, pour faire
l’expérience de la vie. Les courants, les influences et les impressions
doivent pouvoir, dans les deux sens, qu'il s'agisse du corps ou de
l'âme, sans entraves d'aucune sorte, librement circuler entre
l’intérieur et l’extérieur, et entre l’extérieur et l’intérieur…
Ceux qui admirent quelqu’un capable de se tenir ainsi au-dessus de la
maladie ressemblent aux spectateurs ou téléspectateurs des cirques ("La
piste aux étoiles"), qui, bouche bée et éblouis, suivent du regard les
exploits des contorsionnistes, saltimbanques et artistes de variétés, ce
par quoi le brûlant désir s'éveille en eux de parvenir, eux aussi, à
pouvoir en faire autant, sinon mieux.
Pourtant, il convient d’admirer ce qui est réellement admirable, et non point ce qui ne l’est pas!
Qu’est-ce qu’un refroidissement? C’est notamment la preuve que les influences
extérieures agissent sur le corps humain. Dehors il fait froid, et, par
conséquent, le corps humain, présent dans cet environnement, lui aussi,
de logique manière, se refroidit.
Un tel refroidissement n’est pas, en fonction des Lois de la Biologie, sans
exercer d’effets dans le corps humain, et c’est parfaitement normal et
même bénéfique, parce que ce sont précisément ces effets qui vont permettre au corps de gérer l’impact du froid sur lui.
Par exemple, si le corps lui délivre une sensation de froid, il va se
mettre à frissonner, ou bien le nez va se mettre à couler, de sorte que
la personne aura besoin de se moucher, ou bien il va se mettre tousser,
etc.
Tous ces phénomènes traduisent une adaptation du corps à une situation nouvelle; un blocus exercé par
la volonté intellectuelle de la personne visant à empêcher de tels
phénomènes naturels et normaux d'adaptation ne pourrait avoir que des
effets désastreux sur le corps.
Si, d’une manière ou d’une autre, l’on empêche le corps de résonner avec son entourage extérieur, aucune possibilité ne va exister pour lui de
s’adapter à la situation extérieure, de sorte que, faute d’adaptation,
les effets pourraient, à l’arrivée, s’avérer catastrophiques.
Le refroidissement, que l’on considère comme une maladie, est, en fait, une salutaire réaction d’adaptation du corps à ce qui peut être ressenti – même si, en réalité, tel n’est
point le cas - comme une agression extérieure. C’est ce que le Docteur
Ryke Geerd Hamer appelle un «SBS», un «Programme Spécial Bien-Fondé de
la Nature». En ce cas, il s’agit, notamment, de la Nature agissant dans
le corps humain.
C'est ainsi que la maladie, loin de constituer un mal en soi, nous apparaît, vue sous cet
angle, comme la possibilité pour le corps de s'adapter à une situation
extérieure nouvelle s'écartant de la normale, de sorte que, par cette adaptation même, la guérison et la survie lui soient possibles.
Une acrobatie de ce genre dans le Domaine spirituel, consistant, en ce cas,
à réfréner la résonance naturelle du corps, donc une intervention
artificielle, voilà, pourtant, ce que beaucoup cherchent, à présent,
comme mesure pour reconnaître, selon eux, un esprit supérieur! Mais,
quel est leur but? Ils s'imaginent, à tort, que grand, uniquement,
serait celui dont l'esprit domine si bien le corps que celui-ci ne
connaîtrait plus la maladie!
Que sert-il que, par une telle subordination, le corps ne soit apparemment
pas malade si, encore en plus, à l’intérieur, l’âme, quant à elle,
privée de toute possibilité d’extériorisation, à cause de cela, ne peut
parvenir à guérir?
Si quelqu’un, de façon despotique, exerce, avec le pouvoir de son esprit, sur son corps,
une pression extatique rendant celui-ci momentanément inerte, il
l’empêche tout simplement de vivre. La maladie n’est, en ce cas, pas
véritablement empêchée, mais seulement refoulée. Le mal ne pouvant
s’extérioriser est juste plus profondément enfoui. Le rhume a, certes,
été momentanément empêché, mais où est le bénéfice s’il doit, par
exemple, ressortir, plus tard, sous forme de pneumonie ou autre ?
Différer n’est nullement guérir!
Certes, ce serait vraiment formidable de ne plus connaître la maladie, mais à une condition! C’est de ne la connaître à aucun niveau! La maladie ne doit donc pas être seulement refoulée mais réellement guérie, et elle ne peut véritablement l’être que si tous les niveaux de l’être sont guéris et pas seulement le corps, car ne s’inquiéter que
du corps, c’est comme si l’on repeignait ou re-crépissait la façade
d’un immeuble, alors que, sous la mince couche de peinture ou de crépi,
de profondes lézardes existent, témoignant du fait qu’en réalité
l’immeuble, du fait qu’il est profondément vermoulu, est, à tout moment,
en passe de s’effondrer!
Oui, à quoi sert-il que le corps physique ne soit pas malade si, à l’intérieur,
l’âme, elle, est malade et que, par ignorance volontaire, la conscience
terrestre ne le sait pas?
Toute démarche visant à empêcher le corps d’être malade alors que, à
l’intérieur, l’âme l’est, est unilatérale et l'unilatéralité apporte
justement non l’équilibré et le sain mais, tout au contraire, seulement
le malsain, le morbide!
Si l’on empêche le corps de vibrer - donc d’être en résonance - avec, à l’intérieur, l’âme qui l’habite, ou même, à l’extérieur, avec
son entourage physique terrestre, l'esprit n'est nullement renforcé,
mais, au contraire, le corps seulement affaibli!
Donc échec, sur toute la ligne!
L'indispensable Équilibre pour la saine Harmonie devant exister entre le corps et
l'esprit en est ainsi détruit et l'aboutissement fatal en est qu'en
définitive un tel esprit, en une mort prématurée, se détache beaucoup
plus tôt du corps ainsi maltraité, puisque ce corps ne peut alors plus
lui garantir la forte et saine Résonance en regard de l'expérience
terrestrement vécue.
L’expérience qui, par la Résonance, aurait dû être vécue par le corps, toutefois,
manque alors à l'esprit, de sorte qu’après un décès prématuré il arrive
alors immature dans l'Au-delà. Ayant été privé de sa nécessaire
expérience vécue, il devra donc revivre son existence terrestre d'alors
encore une fois. Empêcher le corps de résonner avec
son intérieur et son extérieur n’est donc que jonglerie spirituelle,
rien de plus, laquelle se fait non au bénéfice de l’esprit mais aux
dépens du corps terrestre, lequel devrait, pourtant, en réalité,
seconder l'esprit, au cours de son processus d’évolution.
Le corps appartient à une époque d'Évolution de l'esprit. Si, par le refoulement (pression venue de l’esprit), ce corps est rendu
faible et oppressé, alors il ne peut pas, non plus, beaucoup profiter à
l'esprit; car ses irradiations (force vitale) sont trop altérées pour
pouvoir apporter, à cet esprit, la pleine-force dont celui-ci a besoin
au cours de son séjour dans la matière. Ainsi l’esprit nuit au corps, et
le corps affaibli, ne pouvant plus servir l’esprit comme il se doit,
par contre-coup, lui nuit aussi! Déséquilibre!
Que se passe-t-il donc lorsque, par la puissance de l’esprit, l’on veut réprimer la maladie?
Un être humain veut-il réprimer une maladie, alors il doit,
spirituellement, exercer une "pression extatique" sur le corps,
semblable, en plus petit, à la peur éprouvée en face du dentiste,
laquelle, dans une certaine mesure, est capable de refouler la douleur
infligée par la "fraise" ou autres instruments «de torture» utilisés par
le dentiste.
Un tel état de grande surexcitation, le corps le supporte, sans risques excessifs, certes, une
fois, voire même plusieurs fois, sans qu’il en résulte trop de
dommages, mais pas dans la durée, sans en souffrir, à la longue, de
sérieux préjudices. La pression oppresse; il ne peut en être autrement.
Et si un être humain pratique ou conseille le refoulement de la maladie ou
de la douleur par l’esprit, alors il n'est ni un bon praticien ni, non
plus, de bon conseil; car, de cette manière, il transgresse les Lois
Naturelles en vigueur dans la Création.
Vu le besoin qu’il en a, l'être humain doit, assurément, déjà, protéger
son corps comme un précieux Bien à lui confié. Mais cela ne suffit pas.
Il doit aussi s’efforcer d’établir la saine Harmonie entre l'esprit et
le corps.
Si, par une oppression unilatérale, l’Harmonie vient à être troublée, alors cela ne constitue
aucun Progrès, aucune possibilité d’Ascension, mais, tout au contraire,
un obstacle absolument radical vis-à-vis de l'accomplissement de la
Tâche de l’être humain sur la Terre, comme, de façon générale, partout
dans l’Univers, dans l’ensemble la matière.
La pleine-force de l'esprit en regard de son Action dans la matière se
perd alors, parce que, pour cela, il a besoin, en tout cas, de la force
d'un corps terrestre, non pas assujetti, mais, au contraire,
s'harmonisant avec l'esprit!
Il faut donc que, sans entraves et dans toutes les directions, l’énergie circule dans le corps. Il faut que le corps soit en résonance!
Quelles peuvent être les entraves à la libre résonance? De nombreux êtres
humains ne savent pas ce qu’ils veulent. Cette expression «ne savent pas
ce qu’ils veulent» veut, tout simplement, dire qu’il n’y a pas de
réelle connexion entre l’intérieur et l’extérieur.
Qu'est-ce qui s'oppose à cela? La fermeture, la volonté d'occultation d'une
partie de la réalité, l'auto-limitation volontaire. Qu'est-ce qui motive
une telle auto-restriction? Certes, l'égoïsme, le matérialisme, le
conformisme, mais, bien souvent, aussi, tout simplement, la peur de
souffrir.
La peur de souffrir découle de la conscience, plus ou moins confuse, de - par sa fausse pensée et
son faux comportement - ne pas être en accord avec les Lois de
l'Univers. De ce fait, dans la puérile tentative de se protéger des
justes et nécessaires retours karmiques, l'être humain se place dans une
situation d'auto-fermeture. Il s'isole et s'emmure dans une sorte de
blocus en s'imaginant que cela va suffire à écarter de lui les
influences assaillantes.
Le procédé est toujours le même, il consiste à différer le plus possible le moment
des inéluctables conséquences. De part l'exercice du libre vouloir, qui,
jusqu'au bout, lui est laissé, cela est certes possible dans une
certaine mesure, mais l'être humain, en fonction des Lois de l'Univers,
ne peut que différer un certain temps, il ne peut jamais empêcher.
Considérons de plus près, précisément, la peur du dentiste. Celle-ci est
particulièrement significative, car, dans le monde hautement
technologique qui est le nôtre, la pression extatique exercée sur le
corps n'est plus nécessaire, la "science" a pourvu au "besoin" - ou, du
moins, au désir - de fuir la douleur autrement inévitable. Ce moyen
c'est l'anesthésie.
Dans le monde moderne les êtres humains ne veulent plus souffrir, encore
moins qu'avant. C'est pourquoi, lorsqu'un être humain décède sans s'être
rendu compte de ce qui lui est arrivé, souvent son entourage dit: "Il a eu une "belle" mort, il n'a pas souffert!"
La volonté d'empêcher les êtres humains autour de soi de souffrir en
toutes circonstances pourrait sembler, de prime abord, procéder d'une
belle philanthropie, mais qu'en est-il vraiment? Vouloir qu'un être qui
vous est proche, notamment arrivé à sa fin dernière, ne souffre en
aucune manière pourrait donner l'impression d'un grand amour de votre
part envers lui, mais regardons cela de plus près.
La souffrance - tout comme, du reste, la joie - frappe sans cesse à la porte en vue du Réveil spirituel! Certes, compatir (= souffrir avec) aux souffrances du prochain procède, bien
souvent, d'un véritable Amour, mais vouloir, à tout prix, empêcher la
souffrance, par ailleurs méritée, qui seule va permettre l'indispensable
Réveil Spirituel d'un être humain, serait-ce là un véritable Amour?
Si quelqu'un, médecin ou guérisseur, prétend vous ôter une maladie et que, par là-même, il vous ôte aussi l'indispensable expérience vécue de l'esprit que, pour votre véritable Salut - celui de votre âme -, cette maladie
est destinée à vous apporter, est-ce là un véritable secours qu'il vous
apporte?
Si un être humain a une dent qui se gâte et donc se carie, ce n'est certes pas sans raison. Bien
sûr, parmi les causes de la carie il peut aussi y avoir des agressions
extérieures, comme une nourriture ou une boisson inadéquates
acidifiantes et dérobeuses de minéraux (sucre), ou bien un choc physique
ou même thermique (chaud et froid), mais les principales causes des
caries rendant les dents d'autant plus vulnérables aux agressions
extérieures, ce ne sont pas la nourriture ou la boisson, mais c'est la répercussion sur le corps de chocs psychiques plus ou moins importants.
Supposons, par exemple, qu'un être humain vive dans une considération injustifiée
et donc exagérée de soi-même et qu'au cours d'une circonstance terrestre
quelconque il surprenne une conversation de tiers lui permettant de
savoir vraiment ce qu'ils pensent réellement de lui. Supposons que
l'appréciation de ses co-êtres humains à son égard soit rien moins que
flatteuse. De ce fait, il éprouve un choc, car ce qu'il découvre subitement heurte de plein fouet la haute estime qu'il avait de lui-même.
Ici, deux possibilités, ou bien cette découverte est acceptée par son être
terrestre conscient et il la met à profit pour essayer de discerner ce
qu'il pourrait y avoir de justifié dans une telle appréciation
défavorable, ou bien, au contraire, son grand attachement à l'opinion
louangeuse de lui-même ne lui permet aucune remise en cause et l'oblige à
refouler ce qu'il a entendu et aurait préféré ne pas entendre.
En une telle circonstance il ne peut évidemment pas empêcher l'impact de
l'événement d'agir sur lui, car l'événement et le choc consécutif ont
déjà eu lieu et ne peuvent donc pas être effacés.
S'il permet à son corps de naturellement vibrer en fonction de ce que son
être intérieur a alors vécu (émotions), alors l'impact peut être évacué
en direction de l'extérieur.
Ces émotions de colère ou de chagrin, dans un corps en co-vibration avec
l'âme, pourront, par exemple, se manifester à l'extérieur par des cris
ou des pleurs, exprimant l'indignation ressentie, en particulier
vis-à-vis des personnes à l'origine du choc.
Mais si sa fierté - ou son orgueil - ne lui permet pas d'extérioriser
l'impact de ce qu'il a vécu suite à ce qu'il a fortuitement entendu,
alors va inéluctablement s'appliquer le proverbe:
"Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime!".
S'imprime où? Dans son corps, et, en particulier, bien souvent, dans sa dentition! Car avoir envie de mordre et s'empêcher de le faire ne peut avoir, bien
évidemment, que des conséquences négatives pour les dents. La douleur
psychique refoulée va ainsi "s'enkyster" dans la dent correspondant
précisément au genre du choc subi (voir le concept de "dentisterie
holistique").
De ce fait, la dent concernée va devenir vulnérable et beaucoup plus sensible aux diverses agressions extérieures. Elle va
rapidement se déliter et perdre de la matière, les bactéries vont
commencer à s'installer dedans, c'est la carie qui survient.
Naturellement, la carie en se creusant finit par mettre le nerf de la dent à vif, ce
qui provoque la bien connue "rage de dent". Une telle "rage de dent" est
donc, en fait, la manifestation de la souffrance précédemment refoulée
et donc enkystée ou "engrammée" et elle est porteuse d'un message; elle
vient dire à l'être humain concerné, dans sa conscience diurne:
"Je suis la douleur que Tu as précédemment refoulée, lorsque tu as préféré
oublier la sensation ressentie lorsque Tu as fortuitement découvert ce
que les autres pensaient de Toi. Je suis pour Toi l'occasion de regarder
enfin cette réalité - et donc cette souffrance - en face. Que vas-Tu
faire, maintenant?"
Oui, que va-t-il faire, maintenant? Va-t-il accepter de se réveiller, ou bien, par l'anesthésie, va-t-il encore tenter de différer le moment de l'inéluctable prise de conscience?
Du fait de la paresse d'esprit générale, la plupart des êtres humains - bien évidemment - choisissent de différer le plus possible. L'on va chez le dentiste pour déposer le problème sur lui. Il doit tout
remettre en ordre. Normal, puisqu'il est payé pour cela (en plus, avec
la sécurité sociale et les mutuelles, cela ne coûte, en apparence,
quasiment rien à l'intéressé!)!
Et chez le dentiste, non plus, l'on ne veut pas souffrir, et celui-ci l'a
bien compris, qui, automatiquement, utilise de copieuses doses
d'anesthésiques chimiques. Car s'il faisait souffrir son patient il
serait considéré comme un mauvais dentiste, et le patient s'en irait, la
fois suivante, chez un autre dentiste ne le faisant, lui, pas souffrir.
Donc, en un accord tacite, le dentiste et le patient sont bien
d'accord: "Non à la souffrance!"
Tout le monde pense, sans doute, ainsi avoir réglé le problème de la souffrance, mais en est-il vraiment ainsi?
La souffrance est souvent considérée comme une fatalité extérieure, à la survenue de laquelle l'on ne pourrait pas grand chose, et qui frappe au hasard tel ou tel être humain, l'on se demande bien pourquoi l'un plutôt ou plus qu'un autre?
Mais, s'il en était ainsi, soit elle n'aurait aucun sens, soit elle serait
envoyée par un "Dieu" jaloux et vengeur, mais dans quel but? Le Monde
d'Ordre, de Sagesse et de Beauté que nous voyons ne peut être l'Œuvre
d'un tel "Dieu". Dieu ne veut pas de souffrance pour Son Peuple! Il ne peut pas vouloir que les êtres humains souffrent sans motif ni raison et surtout pas de Son fait!
"Dieu, pour punir le mal, n'a qu'à le laisser faire", dit fort justement le proverbe. En fait, Dieu n'intervient pas dans
toutes les vicissitudes que sont les guerres, les catastrophes, les
maladies et autres tribulations. Il a fait des Lois parfaites qui
rendent auto-activement à chacun la monnaie de sa pièce. Les Lois étant
parfaites, Il n'a plus lieu d'intervenir dans le cours des choses; il
n'arrive que ce qui doit arriver.
Cette expression "il n'arrive que ce qui doit arriver" ne doit, toutefois, pas être mal comprise. Il ne réside en cela aucune fatalité; cela ne signifie pas que les choses soient écrites d'avance et que l'on ne puisse rien pour les changer, cela signifie juste que telle cause provoque tel effet et que l'effet arrive avec certitude aussi longtemps que la cause qui l'engendre n'est pas modifiée ou remplacée par aune autre.
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